Aléa ALENA Ab Ovo


SUR LA ROUTE DU CINÉMA par Dan Albertini

Un film qui ne doit sortir de Hollywood, un scénario osé, un dialogue de sourd

Il y a fort peu avant l’hiver j’élaborais sur un point de vue personnel avec un ami spécialisé en psychoéducation, pour clientèle en difficulté. Il jugea mon affirmation inquiétante mais l’absorba comme un lapsus. Ma définition de la théorie de l’absurde comme principe personnel l’avait déboussolé au point de me dire que je « n’étais un fou ni désespéré ». Ébranlé, la conversation prit le détour pour feindre l’oubli. Si l’on se réfère en outre à l’emprunt usité de la locution latine ab absurdo en français pour raisonner par l’absurde, voici ce que dit la traduction : « raisonnement dans lequel, pour démontrer une proposition, on commence par supposer la proposition inverse ; si on aboutit à une absurdité, on admet, selon le principe du tiers exclu, que la proposition initiale était vraie ». Depuis ma lecture de l’ouvrage qui traite de la vie extraordinaire de Fernand Legros, tableaux de chasse, par Roger Peyrefitte, je me suis rendu compte d’une chose : « sa théorie de l’absurde » me convenait personnellement de par mon caractère de par mes ambitions comme marchand de tableaux, élargies au monde des affaires, du comportement humain, pour des situations difficiles, du grand timide que j’étais depuis l’enfance. J’ai assimilé ainsi depuis, le monde ne déçut pas mon étonnement, tellement résolu par l’absurde dans le sens de la peur du spécialiste, du psychologue. C’est pourtant le cas de la gouvernance mondiale simulée ici dans ce scénario imaginaire dont notre critique fictive à tous, appropriée. Nous sommes bien sûr sur la route du cinéma, avec une chaise vide, non imaginaire. S’asseoir ? Non ?

Le scénario met en relief l’heure insulaire, l’agenda nordique essoufflé, la mimique évasive du président ; l’histoire est réelle. Diaspo journaliste de métier ante-12H71, il avait crainte d’embargo raison simple, retenu Amber 24ND contre Shadow 12:71, quand les réseaux tombent dont voici l’histoire. Viégon regarda la bâtisse qui se trouva en rapport orthonormal de gauche à l’angle de la rue Bonne-Foi, au bas de la cathédrale double-cathédrale de prière, l’impression de voir deux têtes sous le linteau de la fenêtre de l’étage qui donne sur l’angle mort. Mais, deux ombres imposantes se défiaient s’évitaient en même temps. Il ne rêva pas se dit-il, une traînée de chiffres et de nombres accompagnaient tout un alphabet dans la nuit de cette rue du bord de mer. Un mot l’intrigua : dies. Il pria, coutume, routine dans sa foi mais les ombres ne se dissipèrent guère au contraire, il a comme l’impression que sa vue incita une forte excitation dans le comportement de la masse noire de chiffres et de lettres blanches, de celle brune au contour ombré qui laissa des traces de la même nature que le faciès de l’autre. Il prit peur, s’évanouit, sensation NDE, le bruit qu’il entendit ne pouvait se définir dans sa mémoire mi endormie, moitié alerte. C’était Amber contre Shadow !

Rebsomenn est le pasteur retraité envoyé à Port-Royal remplacer le démissionnaire car la mission ne devait rester vide de direction. Il ignore hélas que l’agence avait pris en charge toute sa mission car les pions adverses avaient changé sur le terrain. Il fallait troubler le jeu afin de repérer l’ennemi à distance. C’est lui qui trouva Viégon étalé de tout son long tel un cadavre près des barges de livres recouverts de plastique de jutes durant la nuit. Il réussit à le trainer jusqu’à sa voiture sans savoir ce qui s’était réellement passé. Il expliqua dans son récit, avoir l’impression que quelqu’un le suivait, on le suivait des côtés de la rue Bonne-Foi. C’est le pasteur James Fulffer qui l’accueilli à l’entrée de la résidence temporaire. Ancien Marine Officer, Fulffer était en charge des contacts sur l’île. Il trouva le disque miniature dans la poche de la veste de Rebsomenn qu’il prit soin de fouiller tandis que celui-ci installait Viégon dans une chambre d’ami. Perplexe il expédie ipso facto le mini-d vers l’agence. Le nœud se coinça, là. Marius avait suite au terrible choc, quitté l’île, sa réadaptation complétée. Il était devenu un NASS, tant dans son nouveau travail que sur sa rue. Ses papiers aussi. Cela ne lui plut guère sauf le salaire confortable grâce à la note de Fulffer auprès de l’agence, ses besoins. Il ne sait pourtant de qui il est redevable. Son boulot consistait à rentrer des données d’un apparent institut de statistiques de véhicules, en réalité une cellule de l’agence opérant en matrice nocebo. Le disque est illisible, il y a eu témoin. Je préfère m’arrêter ici, merci d’y croire.

C’est ainsi que Diaspo ce journaliste d’un élan d’écriture spontanée chiffonna le papier griffé, laissa tomber le ver au coin de Sussex. Un titre : Aléa Alena ab Ovo, un code : dies 12:71. Que cela pouvait-il vouloir dire, Muzela rapatriée se mit à lire le 30.

La négociation pro forma est évidemment l’exercice de relations publiques de l’agent. Haut fonctionnaire, c’est la procédure c’est la technicité. Cependant, l’exercice du réel pouvoir de négociation se trouve inspirée dans le courage de Boris dans le rôle de Churchill négociant avec l’euromultiple, pris dans son contexte. Justen aura toujours le choix de se réclamer gagnant au Canada. En outre, si pour le Canada, couteau sous la gorge plus que Peňa dans cette ALENA en cours, la solution n’est miraculeuse si l’action n’est révolutionnaire dans la dimension de la rupture négociée de Boris. Le dictamen se résume au quatrain-Mao rapporté in l’Empereur rouge de Pékin. « Quand l’ennemi avance, nous nous retirons. Quand il esquive, nous le harcelons. Quand il se retire, nous le poursuivons. Quand il est fatigué, nous l’attaquons », B. Michal p.56 para.2. Si la véritable victoire de Mao c’est aujourd’hui quand Pékin économique avance vers l’aurore nucléaire, que le Japon réduit se fait protéger par l’exo. Lequel exo en difficulté relative se doit d’abaisser le Canada voisin allié pour démontrer sa fermeté face à Pékin. Nous noyons en théorie de l’absurde et ne devrions reculer à ce titre ni au prix : grandir non pas reculer. Peňa joue où Justen doit se retirer, provoquer des élections anticipées afin de permettre au PLC de recruter de facto le Dr. Kullar dans une conjoncture qui le réclame comme capitaine Canada. La soupape de sécurité serait alors Lysé gagnant à des élections anticipées à Québec. Ab absurdo si, solution forcée révolutionnaire, si aussi. Theresa Mae le réussit quand Madrid s’encatalogne.

Le Canada ne peut jouer aux enfants de cœur quand le calcul matriciel est faux sur le parallélisme vectoriel présenté comme direction et portée. Justen doit partir afin de permettre au Canada de sortir du prisme du deal sur une base de sa déclaration aloral à la suite des résultats électoraux chez le voisin. Je réitère, il nous faut ce captain.ca.

« non erat his locus » ce n’était la place pour cela = twudo vs twumpp, à perte, in « Aléa » dans le sens du jeu de dés, hasard du deal.

Dr. Kullar sait pertinemment que quand un membre atteint au point de menacer soit de gangrène soit d’entrainer le reste du corps dans son hémorragie, il faut amputer cautériser. Justen s’est lui-même aliéné les relations amicales en ce sens. « Non bis in idem », pas deux fois pour la même chose. Nous le lui disons à ce prince déchu. Plus que Lyzé de mieux en mieux trop intelligent pour ne comprendre la nouvelle dictée légaliste de la France-Macron par rapport à la Catalogne-espagnole séparatiste, afin de perdre le tempo naturel d’une présidence imaginaire par primature à Québec en bonne relation avec le Vermount voisin. Faut-il arrêter la marche essoufflée de ce twitting the world si nous devons faire les frais de la pathologie du policier raciste entrainé à violer le droit fondamental du Noir, du non-Blanc, il revient à Pòl Ryann de se voir être l’Américain ou le rêveur d’étoile sudiste. Surtout quand le bureau ovale se sent abandonné par fille et gendre pour cette cause orientée vers l’anti. Il est impératif à Pense-Ryann, non pas en ticket 20:21 mais un verso, un fac-similé à la manière non Forbes, néanmoins Ford pardonnant à. Le minidisque a son lecteur : dies se multiplie. Muzela priant en latin a cru dies, des jours. Son fils parlant anglais a vu dies dans le sens de matrices. Joe le musicien lit dies comme dans dièse le ½ temps avant le son. Oscar le voisin insulaire traduit dies faute de diez. Muller comprit lui dies en langage de dieses wort. La compréhension s’inscrivait comme dans un système-de-dieux.

Le scénario se termine ainsi : quand l’État confédéré observe avec passivité. Quand l’état fédéré demeure passif. Quand l’état mutualisé tolère de tels écarts de la part de la police qui viole le principe fondamental du droit du citoyen sur une base de nuance de l’épiderme. Quand l’action du secrétaire d’état à la justice dans le pays des droits de l’homme est le silence. Le président est évidemment imputable s’il s’y plait aussi.

Merci d’y croire !